
La banque centrale du Nigéria a maintenu à 14% ses taux d'intervention, confirmant les prévisions de certains experts et indiquant son intention de ne pas se faire dicter sa conduite par le gouvernement. Deux jours avant le début des réunions du comité de politique monétaire, la ministre des finances avait exprimé sa volonté de voir ces taux réduits afin de soutenir le marché du crédit et permettre d'atteindre les objectifs de croissance du gouvernement.